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Auteur
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Ioannis Eirinaios Chatzitolios, Stergios Nousios
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Établissement
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Université Aristote de Thessalonique, Grèce |
Pour que l'analyse des pylônes fournisse des résultats comparables, un modèle d'éolienne courant de 5 MW a été adopté et a déterminé leur hauteur à 90 mètres. La simulation et le calcul de structure ont été réalisés à l'aide des logiciels RFEM et RSTAB de Dlubal et de leurs modules additionnels. La géométrie de chaque modèle a été finalisée après un essai-erreur. Pour les deux modèles, la nuance d'acier utilisée était S355 et les forces agissant sur chaque tour étaient le poids propre de la structure, le poids du WT et la poussée causée par le rotor et leurs moments de renversement respectifs au sommet et la pression du vent personnalisée profil pour chaque modèle. Les vérifications appropriées ont été effectuées selon les spécifications de l'Eurocode.
En comparant les résultats de l'analyse, la structure tubulaire s'est avérée, comme prévu, plus lourde que le treillis tandis que la translation globale de son sommet était significativement plus importante. En ce qui concerne le modèle en treillis, le moment développé à sa base était bien plus faible, ce qui élimine le besoin d'une fondation aussi robuste. D'autre part, le nombre de ses éléments et la complexité du modèle en treillis rendent sa construction très longue et sa maintenance exigeante et dangereuse. En résumé, les résultats de l'analyse combinés aux caractéristiques déjà connues de chaque modèle confirment d'une part la tendance à privilégier le modèle tubulaire tandis que d'autre part, démontrent que le pylône en treillis s'avère être une alternative viable avec un grand potentiel, en particulier lorsque la principale préoccupation est de minimiser les coûts.
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