Cet article explique comment définir des nervures longitudinales sur une plaque de barre à l’aide du composant « Raidisseur » dans le module complémentaire Assemblages acier.
L’évaluation du déplacement entre étages dans un bâtiment est cruciale pour assurer des performances structurelles acceptables en limitant la quantité de déplacement. Un déplacement excessif peut provoquer une instabilité du système et endommager les composants non structuraux tels que les cloisons. Dans cet article, nous vous expliquons la procédure à suivre pour déterminer un déplacement entre les étages selon l’ASCE 7-22 à l’aide du module complémentaire Modèle de bâtiment dans RFEM 6.
La considération de la rigidité des assemblages en acier est cruciale dans le calcul de structure. Les assemblages sont souvent traités comme strictement articulés ou rigides, ce qui peut entraîner des vérifications peu économiques, voire dangereuses. Découvrez comment le logiciel RFEM et le module complémentaire Assemblages acier de Dlubal Software permettent de vérifier la rigidité des assemblages et la résistance au moment, permettant ainsi des vérifications plus sûres et plus économiques.
La norme ASCE 7-22 [1], 12.9.1.6 spécifie à quel moment les effets P-delta doivent être considérés lors de l'analyse du spectre de réponse modal pour l'analyse de sismicité. Le CNB 2020 [2], 4.1.8.3.8.c indique uniquement une brève exigence sur la considération des défaut initial global d'aplomb dus à l’interaction entre les charges de gravité et la structure déformée. Il peut donc être nécessaire de considérer les effets du second ordre, également appelés P-delta, lors d'une analyse sismique.
Le coefficient de sensibilité du déplacement entre étages θ est fourni dans l’EN 1998-1, 2.2.2 et 4.4.2.2 afin d’évaluer s'il est également nécessaire de considérer l'analyse du second ordre dans une analyse dynamique. Il peut être calculé et analysé avec RFEM 6 et RSTAB 9.
Cet article vous décrit, à l'aide de l'exemple d'une plaque en béton fibré, les conséquences de l'utilisation de différentes méthodes d'intégration et d'un nombre différent de points d'intégration sur le résultat du calcul.
Le processus de calcul automatique des armatures surfaciques détermine une armature surfacique avec laquelle la quantité d'armatures requise est couverte.
Lorsqu'il s'agit de calculer des structures régulières, l'entrée des données n'est souvent pas complexe, mais tout simplement trop longue. L'automatisation de la saisie permet alors de gagner un temps précieux. Dans le cas présent, il s'agit de considérer les étages d'une maison comme des étapes individuelles de construction. La saisie doit être effectuée à l'aide d'un programme C# afin que l'utilisateur n'ait pas à entrer manuellement les éléments des différents étages.
Le paragraphe 4.1.8.7 du Code national du bâtiment (CNB) 2020 du Canada fournit une procédure claire pour effectuer des analyses sismiques. La méthode la plus avancée est la méthode d'analyse dynamique du paragraphe 4.1.8.12. Elle doit normalement être utilisée pour tous les types de structure, sauf celles qui répondent aux critères du paragraphe 4.1.8.7. La méthode la plus simple est la méthode de la force statique équivalente (ESFP) du paragraphe 4.1.8.11, qui est adéquate pour toutes les autres structures.
Si, par exemple, un modèle surfacique pur doit être utilisé pour déterminer les efforts internes, mais que la vérification d'un composant a toujours lieu sur le modèle de barre, cela peut être réalisé à l'aide de la barre résultante.
Les vibrations propres et l'analyse du spectre de réponse sont toujours déterminées dans un système linéaire. Si des non-linéarités sont définies dans le système, elles sont linéarisées et ne sont donc pas considérées. Il peut s'agir par exemple de barres de traction, d'appuis non linéaires ou d'articulations non linéaires. Le but de cet article est de montrer comment elles peuvent être traitées dans une analyse dynamique.
Le module complémentaire Analyse des phases de construction (CSA) permet de calculer des structures de barre, de surface et de solide dans RFEM 6 en considérant les phases de construction spécifiques associées au processus de construction. Cette fonctionnalité est importante car les bâtiments ne sont pas construits en une seule fois mais en combinant progressivement des parties structurelles individuelles. Les étapes individuelles au cours desquelles les éléments structurels et les charges sont ajoutés au bâtiment sont appelées phases de construction, tandis que le processus lui-même est appelé processus de construction.
La vérification à la fatigue selon l'EN 1992-1-1 doit être effectuée pour les composants structuraux soumis à de grandes étendues de contraintes et/ou de nombreux changements de charge. Dans ce cas, les vérifications du béton et de l'armature sont effectuées séparément. Deux méthodes de vérification sont disponibles.
Afin de calculer correctement une retombées de poutre ou une poutre en T dans RFEM 6 et le module complémentaire « Vérification du béton », il est essentiel de déterminer les « Largeurs de semelle » pour les nervures. Cet article traite des options d'entrée pour une poutre à deux travées et du calcul des dimensions de la semelle selon l'EN 1992-1-1.
Le module complémentaire Assemblages acier de RFEM 6 permet de créer et d'analyser des assemblages en acier à l'aide d'un modèle EF. La modélisation des assemblages peut être contrôlée par une entrée simple et familière des composants. Les composants des assemblages acier peuvent être définis manuellement ou à l'aide des modèles disponibles dans la bibliothèque. La première méthode a été décrite dans un précédent article technique intitulé « Une nouvelle approche relative au calcul des assemblages acier dans RFEM 6 ». Cet article se concentre sur cette dernière méthode, c'est-à-dire qu'il vous montrera comment définir des composants d'assemblage acier à l'aide des modèles-types disponibles dans la bibliothèque du logiciel.
L'avantage du module complémentaire Assemblages acier pour RFEM 6 est que vous pouvez analyser les assemblages acier à l'aide d'un modèle EF pour lequel la modélisation s'exécute de manière entièrement automatique en arrière-plan. L'entrée des composants d'assemblage en acier qui contrôlent la modélisation peut être effectuée en définissant les composants manuellement ou en utilisant les modèles disponibles dans la bibliothèque. Cette dernière méthode est décrite dans un précédent article de la Base de connaissance intitulé « Définir des composants d'assemblages acier à l'aide de la bibliothèque ». La définition des paramètres pour le calcul des assemblages acier est le sujet de l'article de la Base de connaissance « Vérification des assemblages acier dans RFEM 6 ».
Le calcul de structures complexes à l'aide d'un logiciel aux éléments finis est généralement effectué sur l'ensemble d'un modèle. Cependant, la construction de telles structures se défini comme un processus en plusieurs phases à travers lequel l'état final du bâtiment est atteint en combinant des composants structuraux individuels. Afin d'éviter les erreurs durant le calcul de l'ensemble des modèles, l'influence du processus de construction doit être prise en compte. Une telle démarche est possible dans RFEM 6 grâce au module complémentaire Analyse des phases de construction (CSA).